Montevideo, 26 mars (EFE).-le Gouvernement uruguayen suspendu aujourd’hui la libération de chevaux à l’étranger et les carrières dans les hippodromes du pays par l’éclosion d’une maladie respiratoire parmi les copies pura sangre, une mesure considérée comme excessive par les employeurs concernés et inadéquate par les vétérinaires.
Dans une résolution de huit points auquel il avait accès Efe, la Direction générale des services du bétail a indiqué que des mesures ont été prises suite à la découverte « d’une maladie des symptômes respiratoires aigus, la morbidité élevée et une faible mortalité chez les chevaux ».
Même si l’entité, dépendante du ministère de l’élevage, l’agriculture et des pêches, a signalé que non encore un laboratoire « diagnostic » de la maladie, il a souligné que « il y des cas similaires dans les pays de la région (sudamericana) compatible avec rinoneumonitis de grippe ou équine ».
Précautions affectent pur-sang plein de chevaux de course mais aussi dans la moindre mesure pour « tous les chevaux entrant locaux de concentration des animaux », comme les ventes aux enchères (encans), preuve de divertissement de la circonscription, les foires et autres centres ou e cheval.
Dans de tels cas, les animaux doivent avoir un certificat vétérinaire spécial.
Week-end prochain commence à Montevideo le Criolla, une célèbre équestre juste tenue à Pâques et dont les activités principales, les jineteadas (une sorte de domas), rester debout, mais avec ces dernières restrictions souffriront.
Sur le nom de l’une des entreprises concernées, l’Hippodrome Maroñas de Montevideo, le gestionnaire de l’établissement, Oscar Bertoletti, exprimé vendredi sa « surprise » et « concernent » lors de la décision des autorités.
Bertoletti dit Radio Carve « la virulence a été très douce, les animaux qui ont été touchées n’avaient pas de problèmes majeurs » et dénonce les effets de mesure officielle de quinze concours seulement ce week-end, qui aurait participé à plus de 250 chevaux.
Dit mais ne pas pour évaluer l’impact économique de la décision, a expliqué que seul en Maroñas, où apparemment détecté l’accent infectieuse, les « prix au moyen de $200 000 la semaine dernière ».
Bertoletti a ajouté que « la maladie est déjà à un stade marginal ou terminal » et a déclaré qu’il est « un problème qui se produit régulièrement » bien que « cette année est arrivé avec plus de fermeté ».
Pour sa part, le président de la société de médecine vétérinaire de l’Uruguay, Carlos Morón, a souligné que ce type de maladies respiratoires « sont infectés très facilement », par « sont virales ».
L’addition, « peut apporter des complications pour les chevaux », dans la mort de certains cas « si c’est compliquée par une infection bactérienne, » a-t-il ajouté.
Ainsi nommé parce que la suspension de toute activité impliquant des chevaux, de se rappeler que « il peut être animaux que le vaccin n’a pas pris leur l’effet désiré ».
Pour le cas spécifique des foires, comme la Criolla, rappelle Morón, également Radio Carve, que « le virus peut passer un animal à l’autre ou par les mains des personnes qui jouent un cheval ou un autre ». EFE