La Paz, 11 sep (EFE).-les organisations de droits de l’homme et les dirigeants de l’ethnique groupes en Bolivie aujourd’hui mis en garde sur les risques d’un affrontement violent entre les peuples autochtones qu’elles star dans une protestation mars dans l’Amazone et le président des paysans disciples pays, Evo Morales, bloquant les le passage.

« Le risque d’une confrontation, malheureusement, est imminent », EfE aujourd’hui le président de l’Assemblée permanente privés des droits de l’homme, Yolanda Herrera, dont institution donne une aide humanitaire à la marche autochtone qui rejette la décision de Morales pour construire une route à travers un parc naturel.

Indiens, qui ont commencé leur marche dans la région amazonienne du passé août 15 sont dans la communauté « L’embuscade », 25 km du village de Yucumo, où des groupes de paysans soutenant le gouvernement bloqué une route pour arrêter le Calf

Herrera a fait remarquer qu’il existe “un scénario de haut niveau de préoccupation” et les bureaux du procureur des départements de La Paz et Beni (nord-est) envoyé procureurs Yucumo afin d’éviter “qui s’enflamme une étincelle qui provoque un désastre” dans les prochaines heures

Ministère du gouvernement (intérieur) s’installe à la région des centaines de policiers, et de représentants du Bureau du Médiateur ont aussi voyagé à la région, située à environ 250 kilomètres au nord-est de La Paz, afin d’éviter des affrontements possibles.

Les peuples autochtones sont opposés à la construction de plus de 300 km route financé par le Brésil qui traversera le territoire Indígena Parque Nacional Isiboro compétitifs (Tipnis) pour les dommages environnementaux qu’elle provoquera et parce qu’ils craignent de promouvoir l’invasion de la zone des producteurs de coca, de base pour la fabrication de cocaïne.

Le Guarani chef indigène que Celso Padilla a déclaré aux journalistes que si bloquant la façon dont les agriculteurs provoquent et offensent eux, qu’ils soient défendrait et insiste sur le fait que le gouvernement sera responsable de ce qui se passe parce que les dirigeants progouvernementales a organisé le blocus.

Rafael Quispe Aymara a demandé, par voie de presse, que les Nations Unies et l’avocat du peuple sont présents en Yucumo lorsqu’il s’agit des populations indigènes dans les prochaines heures mars

« Sont pas souris à tomber dans le piège que nous voulons visent à Yucumo, pourquoi nous voulons que les voyants sont nos garants », Quispe dit la raison de La quotidienne.

Bloqueurs à Yucumo, René Huasco, paysans chef aujourd’hui, appelée par radio Erbol, à cet endroit découlant d’une nouvelle rencontre entre le gouvernement et les groupes ethniques pour régler le différend par l’entremise de dialogue.

Ministres de Morales et les dirigeants autochtones ont tenté de négocier des six fois, mais ils ont n’atteint aucun résultat, parce que Morales maintient leur décision à prendre la route dans la Tipnis.

, Le ministre de la présidence, Carlos Romero, dit médias d’Etat qu’il espère qu’il y n’aura aucun affrontement parce que, à sa discrétion, Yucumo villageois essaient d’appuyer le dialogue, même s’il a souligné la présence préventive des forces de police. EFE