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« Boire l’alcool a un effet direct sur la probabilité de relations sexuelles non protégées et devrait donc être considéré comme un facteur de risque important dans les campagnes pour la prévention du VIH. » « Notre recherche explique aussi pourquoi gens souvent ne soucient pas si ils savent comment risqué c’est : l’alcool influe sur leur processus de prise de décision », explique Jurgen Rehm, épidémiologiste de la Centre de toxicomanie et de santé mentale en Ontario (Canada), qui a dirigé la recherche de nouvelle.

Rehm face 12 études pour comprendre plus en détail la relation entre l’alcool et l’infection par le VIH, parce que ne pas compris si boire a encouragé la propagation par le biais des relations sexuelles ou si certains traits de personnalité, comme la prédisposition à adopter un comportement dangereux, qu’une personne n’a pas sûr du sexe et de boire beaucoup d’alcool.

Dans leurs expériences, l’expert divisé les participants en deux groupes afin que certains ont pris de l’alcool et d’autres ne le font pas. Ensuite, il a analysé sa disponibilité à avoir des relations sexuelles non protégées et a remarqué que l’alcool affecté son processus décisionnel, en évitant de prendre les moyens raisonnables et faire qu’ils perdent leurs inhibitions.

Spécialistes a fait valoir qu’il est important de faire des campagnes de prévention qui rapport à la population des risques liés à l’alcool, car il peut favoriser la propagation du VIH/sida.