Madrid, 2 APR ( EFE).-les ministres de l’intérieur, justice et santé, Jorge Fernández, Alberto Ruiz-Gallardón et Ana Mato, respectivement, ainsi que l’état du procureur général, Eduardo Torres-Dulce, se réunira le 12 avril avec les associations concernées par la cause de la “enfants volés”.
Donc les sources de la justice, qui ont souligné que cette réunion de « haut niveau », en réponse à l’engagement pris par l’exécutif avec ceux qui sont touchés par cette cause, ceux qui veulent montrer leur volonté de les écouter et les aider ont confirmé à Efe.
La réunion, qui aura lieu dans le palais de Parcent, siège du ministère de la Justice, est le second maintient le gouvernement avec les associations, depuis le passé le 10 février le Secrétaire d’État à la Justice, Fernando Román, détenait déjà un premier contact avec eux.
Gallardon assuré depuis le 6 mars, le Sénat a donné « priorité absolue » à l’affaire de « volé les enfants », parce que, dit-il, « heurte frontalement » avec le modèle de société qui défend le pouvoir exécutif, à la fois rejetés soustraire à toute responsabilité.
Le ministre a également souligné qu’il avait été en contact avec le ministère de l’intérieur que les forces de sécurité a examiné, que le fait que les tribunaux affirment que si les infractions sont prescrites ou non, ne signifie pas qu’ils réaliser l’enquête de police « de face à la recherche de la vérité objective ».
a noté que la justice a déjà commencé à travailler avec l’Agence de protection des données espagnol, afin de diffuser « aussi bref que possible », un rapport technique pour en apprendre davantage sur les possibilités légales d’accéder aux fichiers à la recherche de « voler les enfants ».
a également souligné que ce groupe de travail serait incorporé dans le ministère de la santé, services sociaux et de l’égalité « pour ouvrir une autre voie pour la collaboration, compte tenue de l’implication de la performance dans les cliniques et les hôpitaux ».
Fonction de procureur général de l’état l’à a demandé une étude de faisabilité sur la possibilité d’une instruction générale adressée aux bureaux du procureur provincial d’établir des lignes directrices pour l’action dans tous les cas.