(www.neomundo.com.ar/_SINC) les touristes visitant l’Antarctique ont des graines dans leurs vêtements et leurs sacs et introduire involontairement, des plantes non indigènes dans l’écosystème le mieux préservé au monde.
Selon une étude publiée dans la revue Proceedings de la National Academy of Sciences (PNAS), ces organismes peuvent constituer une menace sérieuse à la flore du continent.
El chercheur Steven l. Chown et ses collègues de l’Université de Stellenbosch, en Afrique du Sud ont identifié l’origine et la destination de plus de 2 360 graines atteint l’Antarctique entre l’année 2007 et 2008.
Au cours de cette période, la première saison de l’année polaire internationale, a visité les touristes du continent 33.054 et 7.085 scientifiques et chaque personne transportée avec elle une moyenne de 10 graines.
« Une inspection minutieuse des bagages : vêtements, bottes, trépieds, Cannes, etc., serait suffisant pour réduire ce transfert de graines », explique à Chown, principal auteur de l’étude.
Changement de l’HABITAT
Les espèces envahissantes peuvent altérer l’Habitat qu’ils arrivent et sont l’une des principales causes de la perte de la biodiversité dans le monde entier. L’Antarctique ne fait pas exception.
La menace pour la conservation de la flore est un problème courant, mais il va être croissante des progrès de changement climatique dans cette région inhospitalière.
Moins de RAIDEURS, une plus grande survie
Chercheurs ont calculé la possibilité de plantes non indigènes résistantes aux conditions météorologiques du froid dans les différentes parties du continent. En raison de la répartition géographique des visiteurs et des conditions climatiques, la partie occidentale de la péninsule Antarctique est le plus sensible.
De fait les espèces Poa annua, une plante herbacée de la famille des graminées et de céréales, tel qu’il a adapté et mis en place en ce lieu. Un secteur où, selon les prévisions, le réchauffement climatique va promouvoir la survie de cette plante.
« Il est crucial que les zones à haut risque d’héberger de nouvelles espèces sont surveillés et que, dès qu’ils sont identifiés, ils sont éliminés », explique Chown.
De plus, autant que les touristes apportent d’autres zones froides avant d’atteindre l’Antarctique, dont plus de la moitié des graines qui appartiennent à des espèces adaptées au froid, donc il peut supporter des conditions extrêmes bien.
« Antarctica est l’endroit moins affectée par les êtres humains sur la planète. » « Keep it de cette façon, de la même manière qu’on apprécie les grandes œuvres d’art, c’est un objectif important du point de vue de la conservation, » conclut le chercheur.
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