Montevideo, 28 mar ( EFE).-le médecin Uruguay Trade Union ( SMU) exclu aujourd’hui que le médecin et infirmière arrêtée par « douteux » de la mort d’un patient sont étudiées par homicide et a signalé un cas « de fautes professionnelles liées aux soins des malades en phase terminale ».

Lors d’une conférence de presse convoquée en urgence, le chef de la SMU, Martín Rebella, exclu également aux médias qu’il y a un lien entre ces arrestations et le cas de deux infirmières traitées par le meurtre propre aveu d’au moins 15 patients en soins intensifs des unités de Montevideo.

« Poignée d’information nous, qu’il n’est pas officielle, est qu’il y a un collègue et une infirmière sont à cette époque par un possible cas de faute professionnelle liée aux soins des malades en phase terminale », Rebella a déclaré aux journalistes.

Médecin, qui a personnellement participé aux tribunaux de Cologne, situé à environ 180 kilomètres à l’ouest de Montevideo, et où ils sont interrogés les deux femmes pour être informé de l’affaire, il a insisté à plusieurs reprises dans la recherche « n’a rien à voir avec l’homicide ».

« Je ne sais pas inyectara rien pour faire avancer la mort, cela impliquerait l’euthanasie. » « Je ne sais pas c’est la plainte, » dit Rebella devant les questions des journalistes.

Responsable du SMU a indiqué que l’Union était « très préoccupée » par cet événement principalement par sa « présence dans l’opinion publique » et parce qu’aucun doute « ne génère une détérioration de la confiance dans le système de santé et de la médecine ».

, A indiqué que même si elles ne sont pas prêts à porter un jugement sur le fait en particulier, qui cherche toujours, le SMU mis à la disposition les prisonniers leur legal services pour « que rencontre son échéance du processus ».

Les deux femmes ont été arrêtées aujourd’hui à Cologne avant une plainte eux lié à mort « douteux » d’une femme de 99 ans, est décédée à l’hôpital de la ville.

Cet événement est venu neuf jours seulement après que le processus de justice infirmières Ariel Acevedo, 46 et Marcelo Pereira, 39 ans pour le meurtre de dix et cinq patients en soins intensifs dans les deux hôpitaux d’unités de Montevideo respectivement. EFE