Caracas, 13 sep (EFE).-le ministre de l’intérieur et le Venezuela justice, Tareck El Aisami, rapporte aujourd’hui que les milices, également appelés par le gouvernement de Hugo Chávez comme un « people in arms », équipe de dix hôpitaux publics Caracas du vendredi prochain afin d’assurer la sécurité des médecins et les patients.

« Nous avons choisi ces dix hôpitaux parce que nous croyons qu’ils n’ont plus grand afflux par les utilisateurs de la région métropolitaine, » dit El Aissami lors d’une réunion qui a soutenu la profession médicale et les pouvoirs exécutifs, rapporte l’Agence de presse vénézuélienne avec

La milice bolivarienne a été créée par décret présidentiel en 2005 et est formée par la milice territoriale, définie comme le « peuple en armes » et « organes combattants », composé de membres des institutions publiques, des universités ou des entreprises, comme l’Etat Petroleos de Venezuela (PDVSA).

Chaque centre de santé présentera un “bataillon de milice” qui soutiendra la sécurité de ces hôpitaux, indique AVN, bien que le déploiement de la milice débutera ce vendredi dans l’hôpital El Algodonal, situé dans l’ouest de Caracas.

Le ministre a fait les commentaires après que plusieurs membres du gouvernement, y compris le vice-président exécutif, Elías Jaua, s’est entretenu aujourd’hui avec plusieurs syndicats de médecins en raison de niveaux élevés d’insécurité qui se produisent dans les hôpitaux du pays.

El Aissami a exhorté la communauté afin de surveiller l’innocuité, les gestionnaires et les médecins plan qui comprendra également des 450 officiers militaires et autres responsables de l’application de la Loi dans le pays.

« Ont à nous envoyer des commentaires; » « collègues ont été formés pour faire le diagnostic situationnel, de savoir qui sont les heures qu’il y a encore afflux de personnes, les heures critiques et les différentes entrées dans les hôpitaux, » ajouté.

Il a annoncé que l’État est la conception d’un projet spécial en conjonction avec la police nationale à être effectué au début de l’année prochaine.

Lors de la réunion, également intervenu Chavez grâce à un appel téléphonique et de dit que son gouvernement fournira » « son plein soutien à la profession médicale, “révolutionnaires ou non”.

“Je soin qu’ils sont sérieuses pour régler ce problème, et il doit être dans toutes les régions du pays,” a déclaré m. Chavez, qui a montré sa volonté de “tourner la page” dans la relation conflictuelle qui ont gardé ces derniers mois, le secteur médical et le gouvernement.

Jaua défend l’intervention de la milice contre « ceux qui vont toujours de s’opposer à » et accuser cette organisation comme répressifs ou « agents castro-comunistas ».

Le meurtre récent à la fin du mois d’août, étudiant en médecine de l’époque de garde dans un hôpital de l’état de Carabobo soulevé le débat sur l’insécurité de l’hôpital pour les médias, qui a également conduit à cette atizaran les protestations de ceux qui réclament davantage de sécurité dans les centres médicaux.

Venezuela

avait un taux d’homicides en 2010 de 48 personnes par 100 000 habitants, selon les chiffres du gouvernement. EFE