Brasilia, 4 déc (EFE).-les richesses pétrolières énorme au Brésil a été trouvé dans les eaux profondes de l’océan Atlantique transformera le pays en « troisième plus grand pollueur du monde », selon une étude réalisée par Greenpeace publié aujourd’hui par le journal « O Globo ».
« Au Brésil, qui est en sixième position, devient le troisième parmi les grands pollueurs du monde, derrière les États-Unis et la Chine », dit du groupe environnementaliste, qui fonde ses prévisions sur les émissions, ce qui permettra de générer l’exploitation du pétrole brut dans les zones sous-marines de la soi-disant presal.
Selon des estimations par Greenpeace, opérations dans la nouvelle huile dans les eaux de l’Atlantique horizon lancement dans l’atmosphère 955,82 millions de tonnes de dioxyde de carbone (équivalent CO2) et peuvent avoir des “conséquences désastreuses” pour l’environnement.
“À la fois lorsqu’il y a un effort mondial pour réduire la dépendance aux combustibles fossiles Brésil voit son pétrole réserves comme raccourci rapide développement économique et social”, « O Globo », déclare le porte-parole de Greenpeace dans le pays, Sergio Leitao.
L’activiste, affirme que les conséquences se font déjà sentir, avec le récent déversement s’est produit sur un site de la compagnie américaine Chevron exploité dans le domaine de la Frade dans les eaux profondes de l’océan Atlantique au large de la côte de Rio de Janeiro.
Chevron estime que 2 400 barils de pétrole brut, déversé dans la mer, même si les autorités de Rio de Janeiro pensent qu’ils pourraient être environ 15 000 barils.
Au-delà du déversement et ses conséquences, Leitao affirme que, selon les estimations par Greenpeace, seulement les émissions de polluants gazeuses dans la fosse atteint 10,6 millions de tonnes de dioxyde de carbone entre août dernier et septembre 2010. EFE