Washington, 14 mars ( EFE).- La Banque mondiale ( BM) a exhorté les pays aujourd’hui et African Nations donneur afin d’améliorer la gestion des fonds pour la lutte contre le sida sur le continent, parce que la crise économique met en péril la lutte afin de stabiliser la maladie.

« Une volatilité croissante de l’économie mondiale est causant des problèmes dans le maintien et l’augmentation des programmes de traitement pour le sida dans les pays à faible revenu », affirme le rapport publié aujourd’hui par la Banque mondiale.

La Banque citée comme un exemple en Ouganda, dont les programmes de lutte contre la maladie reposent sur un 85 pour cent de l’aide financière extérieure, qui est pourquoi, malgré des taux de sida en Afrique du Sud, courir le risque d’un pic.

Les retraits de rapport qui, après des décennies d’augmentation de fonds, qui ont stabilisé la maladie a permis à des millions de personnes peuvent recevoir des traitements pour éviter la mort, les coûts augmentent et le mauvais état des finances publiques en Afrique du Sud soulève le danger.

Au Botswana, où un quart de la population entre 15 et 49 ans est porteur du VIH, le rapport note que le coût budgétaire des programmes SIDA augmentera de 3,5 % du produit intérieur brut (PIB) en 2016.

Que coût pourrait croître à un taux de 12 % en 2021, si elles sont des recettes minières encore baisse et la hausse des coûts des programmes de santé.

Néanmoins, la Banque mondiale a rappelé que depuis 1996 des fonds à l’échelle mondiale pour contenir l’épidémie de sida ont augmenté de $ 260 milliards de dollars à 15 900 millions de USD 2009.

Selon le rapport, les investissements publics pour lutter contre l’épidémie seul pourrait être réduit si l’amélioration de la planification financière et de contenant de la propagation de la maladie. EFE